52 universités ont dit non à la hausse des frais de scolarité des étudiants extra-européens
Vous recherchez une formation en France dès ce mois-ci dans un établissement public qui échappe à la nouvelle politique de hausse des frais de scolarité ? Studely vous répond.
Nous l’avons compris : plusieurs étudiants se sont angoissés quant à la concrétisation de leur projet d’études en France, suite à la nouvelle politique d’attractivité de l’enseignement supérieur français présentée par le premier ministre Edouard Philippe, annonçant la hausse considérable des frais d’inscription dans les écoles publiques françaises.
À titre de rappel : si le coût d’une inscription en licence était de 170 € par an, il passerait à 2 770 €, celui d’une inscription au master (ou doctorat) passerait de 243 € (ou 380 €) à 3 770 €. Cette augmentation est applicable seulement aux étudiants extra-européens qui comptent poursuivre leurs études en France à partir de la rentrée de 2019.
Certains étudiants ont tellement paniqué qu’ils ont remis en question leur choix pour la France comme premier choix. Conscientes de l’importance de l’ouverture de l’enseignement supérieur français à l’international et de son excellence, plusieurs universités décident de ne pas appliquer cette hausse des frais de scolarité.
__Voici une liste d’établissements qui pourront donc vous servir dans le cadre de votre recherche de votre formation en France __: Nous vous avons donc concocté une liste regroupant toutes les universités qui se sont opposées à cette décision :
- université Aix-Marseille,
- université Avignon,
- université Artois
- université Bordeaux Montaigne,
- université Bourgogne
- université Bretagne Occidentale
- université Caen,
- université Clermont Auvergne,
- université Dijon
- université Haute-Alsace,
- université de La Réunion?
- université La Rochelle,
- université Le Havre,
- université Littoral,
- université Lorraine,
- université Lyon 1,
- université Lyon 2
- université Lyon 3,
- université Montpellier 3
- université Nantes,
- université Nice,
- université de Nîmes,
- université Paris 10 Nanterre,
- université Paris 13,
- université Paris 5,
- université Paris 7 Diderot
- université Paris 8
- université Paris Est Marne-la-Vallée,
- université Pau et Pays de l’Adour,
- université Perpignan,
- université Picardie,
- université Poitiers
- université Reims,
- université Rennes 2
- université Rouen,
- université Saint-Etienne,
- université Savoie Mont-Blanc,
- université Strasbourg,
- université de Toulon
- université Toulouse 1,
- université Toulouse 2,
- université Toulouse 3,
- université Tours,
- École Normale Supérieure Paris- Saclay,
- ENI Tarbes
- INP Toulouse
- INSA Toulouse
- INSA Val-de-Loire
- INSA Rennes
- INSA Strasbourg
- INU Champollion
- UT Belfort
La liste ne serait peut-être pas exhaustive : la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Frédérique Vidal, vient de lancer une consultation sur le sujet, qui devrait s’achever fin février. Il est donc possible que d’autres universités rejoignent les précurseurs.
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